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2 personnes qui se connaissent depuis 10 ans et qui sont devenus parents de 2 petits garçons le 3 juillet 2012!

mercredi 26 mars 2014

Oups

Vous l'aurez certainement remarqué chers lecteurs et lectrices, la correction d'ortographe et de grammaire ne fonctionne plus. 
Je présente toutes mes excuses à vos yeux qui vont en soufrir beaucoup. Déjà qu'il y avait beaucoup de fautes avant, ça ne va pas s'arranger.

Rendez-vous mensuel

Petit passage mensuel par Bollwiller puis direction Altkirch.

Rien d'extravagant ni de follichon à raconter! 
Je crois que ce fut une des soirées les plus difficles pour moi la bas. J'ai réussi à manger le délicieux repas par petit bout. Auguste lui n'a voulut manger que la charcuterie.

Les enfants se sont quand même bien amusés avec mes chaussures.



Et Auguste a fait une méga crise de pleurs. J'ai mis du temps à comprendre, une fois que j'ai compris j'ai eu un fou rire (que je lui ai caché, le pauvre il était vraiment en plein désarroi). 
Auguste est un fan inconditionel de vélos en tout genre. Il en voit un, il veut monter dessut, que l'on connaisse le propriétaire où non. La on connaissait très bien la propriétaire mais ça n'a pas changé grand chose.
Il était assis à table et me montrait quelque chose, il s'est énervé parce que je ne comprenais pas. Je l'ai pris dans me bras pour qu'il m'emène à ce qu'il voulait. Nous sommes donc arrivé jusqu'au vélos ce qui l'a un peu calmé. Mais ça a empiré quand je n'ai pas pu le faire monter dessus, il ne comprenait pas, il insistait et moi je rigolais.


Pour finir la soirée j'ai quand même eu l'honneur et le privilège de coucher Juliette et de lui lire son histoire.

mardi 25 mars 2014

Gym

On a profité de l'école de Mamily. Il y avait pleins de chouettes choses à découvrir et les enfants se sont éclatés. Bastien est monté sur la poutre tout seul, on a un peu flippé quand on l'a vu mais lui il était confiant, il voulait surtout la traverser pour allez descendre le plan incliné qui faisait office de toboggan ( à droite sur la photo).


 


Faber & Mazlish 5/7

  • L'outil 
Le catalogue des parents de Claude Ponti. J'ai trouvé ce livre très intéressant. Je le vois bien en cadeau pour Lucie. Ils y a tout un tas de description de parents différents et l'enfant peut choisir son parent si il veut en changer.
Feed-back de la semaine précédente : la position de gagnant n'est pas toujours confortable. L'autre est perdant, mais est-on vraiment gagnant? Mon enfant est finalement au lit après 20 minutes de hurlements, mais en tant que parents a-t-on vraiment gagné? Comment je me sens vis à vis de mon enfant?
  • Les bombes
Lors de nos conversations avec les autres, il arrive qu'on leur lance des bombes. L'autre se la prends en pleine figure et nous la renvoie. Ce sont souvent des phrases en tu : c'est toujours pareil avec toi, tu n'écoutes jamais rien!
Le but c'est de désamorcer la bombe avant de la lancer. On prend un moment, on s'arrête, on souffle (on peut utiliser un sablier).
On peut créer notre bombe avec 5 rubans. 

(ici la bombe est ouverte, je n'ai pas de photo fermée. à la base la bombe est fermée, toute noire avec les 5 petits bouts de rubans qui sortent. On tire sur les rubans au fur et à mesure, puis on ouvre la bombe et on a un coeur en or à l'intérieur)
Au lieu de lancer notre bombe, on peut la prendre en main et l'analyser. On tire sur les différents rubans de couleurs l'un après l'autre, à chaque couleur correspond une réflexion de notre part. Quand les 5 rubans sont sortis, on ouvre la bombe.
  • Noir : tout ce qu'on aurait envie de balancer à l'autre
  • Vert : observation. Qu'est ce qui m'énerve. Je prends une photo, je décris ce que je vois
  • Bleu : émotion. Comment je me sens
  • Rouge : besoin. De quoi j'aurais besoin, quel est mon besoin
  • Orange : demande. Avec tout ça on peut maintenant faire une demande à l'autre (ou a soi même). Si on fait une demande à l'autre on reprends les rubans vert, bleu et rouge : quand je vois tes chaussures qui traînent dans la cuisine, je suis vraiment en colère, j'aimerais que tu respectes mon besoin d'ordre ou de respect.
Ensuite on peut dialoguer avec l'autre. On reste bien ancrée dans notre demande, on utilise des phrases en je et on écoute l'autre et ses phrases en je. Il y a des choses à écouter des 2 côtés et à prendre en considération. Jusqu'à arriver à une zone de coopération qui convient aux 2 et où personne ne perds rien.
  • Comment doit être une demande?
On a fait deux petits jeux. Tout d'abord on était une algue, ancrée dans le sol mais qui va vers la droite, la gauche, écouter les besoins de l'autre).
Ensuite on devait faire une demande simple aux autres qui la réaliseront. J'ai demandé à ce qu'on me chante une chanson douce : j'ai eu droit entre autre à une chanson très douce, mais ultra fausse!, à Anton aus Tirol chanté très doucement ... ce n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais.

Une demande doit donc être :
- formulée
- précise
- claire / compréhensible
- simple
- concret / réalisable
- réaliste
- positive (on en dit pas : je ne veux pas que ...)
- négociable (différent d'un ordre ou d'une exigence)
  • Comment encourager l'enfant à être autonome
Souvent on dit des petites phrases qui ne vont pas aider l'enfant à être autonome, on va l'assister, faire à sa place. Attends je vais t'aider, laisse tu es trop petit ...
(nous avons fait une liste de choses que nous faisons à la place de nos enfants et pour la semaine prochaine nous devons essayer de laisser nos enfants faire ces choses)

Petit exercice pour ressentir comment l'enfant se sent si on ne le laisse pas faire. Audrey nous donnait des sudoku et nous les reprenais aussitôt en disant : c'est trop compliqué pour toi, attends je vais t'aider, laisse tu n'y arriveras pas (et pleins d'autres que j'oublie).
Si on fait à la place de l'enfant on va en faire des enfants dépendant (avec des phrases, petit à petit on va l'enfermer dans un état de dépendance).

Il faut laisser l'enfant faire ses propres choix et ses propres actions.


L'idée c'est quand même de laisser l'enfant faire les chose en concordance avec ses capacités!
  • Pour encourager l'autonomie on peut :


* offrir des choix aux enfants (plutôt une robe ou un short)
* montrer à l'enfant que l'on respectes ses efforts
* ne pas poser trop de questions
* ne pas se presser pour répondre aux questions (laisser à l'enfant la chance d'exprimer ses propres idées : pourquoi le ciel est bleu ? As-ton avis?)
* encourager l'enfant à utiliser des ressources à l'extérieur du foyer

* ne pas supprimer l'espoir (laisser l'enfant explorer et expérimenter)

lundi 24 mars 2014

Ludothèque

Ce matin, la Ludothèque de Kaysersberg était spécialement ouvert pour les Coccinelles. Nous nous y sommes rendus directement.

On a vraiment bien profité de cet endroit, on en a profité pour s'inscire et emprunter un jeu de fruits à découper. Les garçons aiment beaucoup, Bastien a très bien compris la technique : tenir le fruit, introduire la partie fine du couteau et scier (il est super concentré, la bouche grande ouverte, la bave qui coule, rien ne le perturbe). Auguste a encore besoin d'aide pour tenir les fruits et introduire la lame (il en a eu marre et a décidé que c'était plus simple de la faire avec les mains).
Si quelqu'un a un bon plan je suis preneuse car ils aiment beaucoup.

Au moment où je me suis décidée à partir pour me rendre aux Coccinelles, on a été rejoint par d'autres copains. Finalement il n'y avait personne aux Coccinelles, nous étions tous là, on a bien profité des jeux, enfin les enfants ont bien profité des jeux, Brigitte (bénévole de l'association) nous a expliqué que quand les enfants jouent il faut les laisser faire et intervenir dans leurs jeux seulement si ils nous y invitent. Autant dire qu'une fois qu'on les a laissé jouer nous n'avons pas été vraiment invité, ce qui nous a permis de discuter entre mamans.

samedi 22 mars 2014

Munster

On est retourné à Munster. Cette fois ci c'était pour voir Marie et Nicolas ainsi qu'Alice et Olivier. On a passé un très bon moment. Bastien s'amusait tellement bien qu'il n'a pas voulu dormir. Marie et Nicolas ont eu beaucoup de mal à partir.

vendredi 21 mars 2014

Un vendredi midi

Thomas, qui est venu hier manger des hamburger fait maison (même le pain) (je n'ai pas fait d'article car je n'ai pas pris de photo), m'a invité pour aujourd'hui à manger chez ses parents. Il y travail avec son papa, la seule contrainte était que je devais cuire les patates pour accompagner le Mont d'Or.

Rendez-vous à 11h30. Quand je suis arrivée, j'ai appris que je devais aussi cuire le Mont d'Or. Etant donné que j'adore ça mais que Jonathan déteste, je n'en fais pas souvent. Bertrand m'a donné la base et je me suis débrouillée. Le Mont d'Or au four pour 30 minutes, je me suis attaquée aux pommes de terre. Une fois que la température est montée en pression, je me suis rendue compte que la cocotte était mal fermée et qu'elle fuyait un peu. 
Le temps que les travailleurs arrivent et que Antoinette soit là (oui elle était invitée ausi), le tout à cuit plus de 45 minutes.  Au moment de passer à table on s'est rendu compte qu'il n'y avait plus de jambon pour accompagner le repas et que les patates manquaient d'un tout petit peu de cuisson, mais on s'est régalé quand même. En dessert Antoinette avait une salade de fruits et moi un gâteau au yaourt périmé et au citron.

Nous sommes partis un peu avant 14 heures. Antoinette nous a racompagné jusqu'à la voiture garée derrière la mairie. Les enfants n'ont pas pu passer à côté du parc sans y faire un tour.