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2 personnes qui se connaissent depuis 10 ans et qui sont devenus parents de 2 petits garçons le 3 juillet 2012!

lundi 3 novembre 2014

28 mois






Pesée :
Bastien 11 kilos 8
Auguste 12 kilos 7

  • Langage
Nouveau mot : pelleteuse. Kala pété pour Bastien (tracteur pelleteuse) ou Camaïon pété pour Auguste (camion pelleteuse).



Quelques petits moments de langage et de compréhension.




  • Eveil
Premier jeu de société, reçu pour les 2 ans : le loto de la ferme. On a profité de la présence d'Aloys pour tester pour la première fois. Bastien a super bien joué, il retournait les cartes, regardaient sur les plaques et la posait, il la posait sur la plaque même si ce n'était pas la sienne, impossible de lui faire donner la carte à la personne qui l'avait, il fallait qu'il la pose lui même. C'était chouette de le voir si attentif. Auguste était aussi attentif, il fallait lui dire quand la carte était sur sa plaque et il la cherchait ... mais au bout de 2 minutes il ne souhaitait plus qu'une chose c'était aligner les cartes, au bout d'un moment il se fâchait quand on en piochait une et il voulait toutes les aligner.



  • Motricité

Ils sont de plus en plus à l'aise avec leur corps, ils sautent, s'accroupissent, font des figures de styles ...




Ils dansent.



10 minutes de tranquillité ...



Ils ont enfin compris le principe de ce livre, mise en paire des parents animaux avec leurs bébés. L'occasion de découvrir du vocabulaire et d'introduire de nouveaux plateaux.




Re 10 minutes de tranquilité


Frères et sœurs sans rivalité 4/4

Fin des 4 séances. C'est devenu de plus en plus intéressant au fil des séances. Mais il nous manquait un peu de cas pratique alors nous avons décidé de programmer une cinquième séance.

La résolution de problème m'aide beaucoup au quotidien. J'étais un peu perdu, je ne savais pas comment régir quand ils se piquaient les jouets : il ne faut pas arracher des mains, dis-je en lui prenant des mains...
L'idée c'est de partir de la situation actuelle (même si c'est machin qui jouait avec le jeu, maintenant c'est truc qui l'a donc on part de la). 
Rapidement ça donne : "je vois que vous souhaitez tous les 2 ce jeu. Comment est ce qu'on peut faire pour que vous soyez heureux tous les 2? Quelles solutions vous pouvez trouver?"

Bon, chez nous ce fut radical et assez magique (comment ça y a rien de magique la dedans?).

Les garçons se disputaient pour un fer à repasser (un jouet). Jonathan est allé les voir en disant : qui l'avait, qui jouait avec, on va le donner à Bastien et trouver autre chose pour Auguste ... LE truc à pas faire. Jonathan m'a alors demandé de lui montrer comment faire.

Je suis allée les voir d'abord en les arrêtant dans leurs gestes et en leur disant : "je vois que vous souhaitez tous les 2 ce jeu. Comment est ce qu'on peut faire pour que vous soyez heureux tous les 2? Quelles solutions vous pouvez trouver?"
La dispute s'arrête, Auguste tends la prise du fer à repasser à Bastien et garde le fer en main. Ils ont joué 10 minutes comme ça!
C'était leur solution! Moi je ne leur aurais jamais jamais jamais proposé ça et pourtant c'est ce qui leur convenait. Il faut savoir leur faire confiance, même quand ils ne parlent pas.

Pour nous cela marche vraiment bien (pas toujours non plus hein) et puis en même temps ils grandissent et ils s'approprient tous ces outils : quand ils veulent le même jouet, dans 20% des cas ils viennent d'abord nous chercher pour qu'on les aide à trouver un terrain d'entente (20% c'est déjà beaucoup, ça nous change un peu de toutes les fois où on les entends hurler et où on les retrouve avec une poignée de cheveux dans les mains.

J'essayerais de faire un article avec d'autres petits trucs intéressants. 

dimanche 2 novembre 2014

Ballade et crêperie

Emilie et Maloya sont venues se promener en ce dimanche matin ensoleillé. Pour l'occasion on a enlevé les pouet-pouet aux chaussures. 
On a fait le grand tour (qui finalement n'est pas si grand que ça), on a mangé les derniers raisins dans les vignes, on a un peu porté les enfants mais ils ont quand même pas mal marché.












Ensuite direction la crêperie de Kaysersberg que j'avais envie de tester depuis un moment. J'y ai emmené ma sœur et mes enfants. Mes garçons n'aiment pas les crêpes et j'avais oublié de prendre autre chose à manger. Heureusement ils ont trouvé que c'était pas si mauvais et on mangé 2 crêpes chacun (voir un peu plus). Emilie et moi en avons mangé 4 chacune (2 salés et 2 sucrés). On a eu pour 42€ au total (sachant que j'ai à chaque fois pris les plus chères), je trouve ça vraiment honnête.
Les garçons se sont comportés comme des enfants, un peu curieux mais trop, un peu bruyant sans crier (en même temps il y avait juste 1 papa et sa fille dans le restaurant), ils ont joué et découvert le restaurant. Une expérience à refaire sans problème.


Mes petits montéssoriens

Avec la nouvelle étagère et la nouvelle organisation, nous prenons de plus en plus de plaisir à travailler. Les garçons le demandent régulièrement. J'ai introduits les versés d'eau, franc succès mais l'envie de détourner n'est jamais loin.



samedi 1 novembre 2014

Schelmenkopf

Pour ce 1er novembre, nous avons été invité par la sœur de Michèle, la belle maman de Jonathan (quand je vous dis qu'on ne les a jamais vu autant que cette année ...).
Chaque année elle tient la permanence du Schelmenkopf, un chalet du club vosgien (qui n'a rien à voir avec le Chalet Weibel, là bas il y a l'électricité et le téléphone!). 
Rendez vous pris pour midi, certains courageux ont marché, nous nous y sommes rendus en voiture. Nous avons passé un super moment, c'était chouette de revoir les presque cousins de Jonathan, de faire la connaissance de la toute petite Léonie, de laisser les enfants vagabonder (enfin pas trop, on a eu quelques flippes même si en fait ils n'étaient jamais loin).
Nous avons mangé une délicieuse raclette, les garçons on fait une sieste pendant que nous faisions une promenade digestive avant d'attaquer la montagne de desserts (mes shortbread millionnaire ont eu du succès).















Nous sommes partis alors que la nuit était déjà tombée, on a profité de cette journée ne sachant pas quand serait la prochaine rencontre.

mercredi 29 octobre 2014

Brocolis

On essaye de ne pas faire de chantage à nos enfants (si tu ranges ta chambre tu auras une histoire ...non non non, ce n'est pas comme cela que nous fonctionnons). C'est assez facile dans l'ensemble, on explique, réexplique, on accompagne, on aide.
Il y a une chose pour laquelle ça ne marche pas trop : le repas. Mes garçons ne mangeraient que des pâtes.
Avec Jonathan nous avons décidé de fonctionner comme cela : on leur met un peu de féculent dans l'assiette avec un peu de légumes. Forcément ils ne vont manger que des féculents. Pour en avoir encore ils doivent manger au moins un petit bout de légumes (on réexplique que c'est important pour être en bonne santé et on montre l'exemple). Souvent ça suffit pour qu'ils engloutissent leurs légumes. Si ils n'ont pas pris assez de légumes on remet qu'un tout petit peu de féculents. 
Parfois ils sortent de table après leur première cuillère de féculents, parce qu'ils n'ont vraiment pas envie de manger un tout petit peu de légumes. Ce n'est pas nous qui les sortons de table, c'est vraiment eux qui le décident et ça se fait sans pleurs. C'est plus nous qui le proposons en disant que si il ne veut vraiment pas manger de légumes c'est qui ne doit plus avoir faim du tout alors il peut se lever (mais c'est très rare car dans la majorité des cas ils ont encore faim et donc mange des légumes).
Ce qui arrive régulièrement c'est qu'en fait les légumes c'est super bon et ils en réclament encore, avant de reprendre des pâtes.

Ce soir c'était brocolis. Bastien a englouti ses pâtes et en voulait encore. On lui a rappelé la règle en lui proposant un tout petit bout de brocolis. Après 5 minutes d'attentes il a finit par manger un tout tout petit minuscule bout. Il a donc eu un tout petit peu de pâtes ... et en voulait encore mais la règle c'est : qu'il doit manger des légumes ... ça a finit comme ça :


En fait c'est délicieux les brocolis, il ne s'arrêtait plus.

À Labaroche

Elisabeth et Abigaël nous ont invité à passer la presque journée avec elles.
Nous sommes partis à 9h50 en plein brouillard, nous sommes arrivés à 10h en plein soleil. Abigaël venait de se réveiller. Les enfants ont un peu joué ensemble mais les garçons avaient envie d'aller jouer dehors. Ils ont jetés des jouets à travers l'escalier, ils ont touché aux oeuvres d'arts, ils ont lancé les jouets... alors nous sommes sortis, mais en 5 minutes nous avions les pieds trempés. Direction la voiture pour troquer les chaussures contre les bottes et mettre les pantalons de pluie. On a fait une toute petite balade, puis on a joué dans le jardin pendant qu'Elisabeth préparait le repas. Bastien et Auguste ont un peu chahuté avec Abigaël, ils faut dire qu'ils ne sont pas très délicats. 
Le soleil était bien présent, on a même mangé dehors le délicieux gratin dauphinois. Bastien s'est goinfré régalé malgré le soleil dans ses yeux.
L'après midi s'est déroulée tranquillement, on attendait le camion qui venait livré un colis très lourd. Il est arrivé à 14h45, les enfants ne l'ont pas quitté des yeux. Nous sommes partis peu après, les enfants n'ont même pas mis 5 minutes à s'endormir dans la voiture.