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2 personnes qui se connaissent depuis 10 ans et qui sont devenus parents de 2 petits garçons le 3 juillet 2012!

dimanche 2 novembre 2014

Ballade et crêperie

Emilie et Maloya sont venues se promener en ce dimanche matin ensoleillé. Pour l'occasion on a enlevé les pouet-pouet aux chaussures. 
On a fait le grand tour (qui finalement n'est pas si grand que ça), on a mangé les derniers raisins dans les vignes, on a un peu porté les enfants mais ils ont quand même pas mal marché.












Ensuite direction la crêperie de Kaysersberg que j'avais envie de tester depuis un moment. J'y ai emmené ma sœur et mes enfants. Mes garçons n'aiment pas les crêpes et j'avais oublié de prendre autre chose à manger. Heureusement ils ont trouvé que c'était pas si mauvais et on mangé 2 crêpes chacun (voir un peu plus). Emilie et moi en avons mangé 4 chacune (2 salés et 2 sucrés). On a eu pour 42€ au total (sachant que j'ai à chaque fois pris les plus chères), je trouve ça vraiment honnête.
Les garçons se sont comportés comme des enfants, un peu curieux mais trop, un peu bruyant sans crier (en même temps il y avait juste 1 papa et sa fille dans le restaurant), ils ont joué et découvert le restaurant. Une expérience à refaire sans problème.


Mes petits montéssoriens

Avec la nouvelle étagère et la nouvelle organisation, nous prenons de plus en plus de plaisir à travailler. Les garçons le demandent régulièrement. J'ai introduits les versés d'eau, franc succès mais l'envie de détourner n'est jamais loin.



samedi 1 novembre 2014

Schelmenkopf

Pour ce 1er novembre, nous avons été invité par la sœur de Michèle, la belle maman de Jonathan (quand je vous dis qu'on ne les a jamais vu autant que cette année ...).
Chaque année elle tient la permanence du Schelmenkopf, un chalet du club vosgien (qui n'a rien à voir avec le Chalet Weibel, là bas il y a l'électricité et le téléphone!). 
Rendez vous pris pour midi, certains courageux ont marché, nous nous y sommes rendus en voiture. Nous avons passé un super moment, c'était chouette de revoir les presque cousins de Jonathan, de faire la connaissance de la toute petite Léonie, de laisser les enfants vagabonder (enfin pas trop, on a eu quelques flippes même si en fait ils n'étaient jamais loin).
Nous avons mangé une délicieuse raclette, les garçons on fait une sieste pendant que nous faisions une promenade digestive avant d'attaquer la montagne de desserts (mes shortbread millionnaire ont eu du succès).















Nous sommes partis alors que la nuit était déjà tombée, on a profité de cette journée ne sachant pas quand serait la prochaine rencontre.

mercredi 29 octobre 2014

Brocolis

On essaye de ne pas faire de chantage à nos enfants (si tu ranges ta chambre tu auras une histoire ...non non non, ce n'est pas comme cela que nous fonctionnons). C'est assez facile dans l'ensemble, on explique, réexplique, on accompagne, on aide.
Il y a une chose pour laquelle ça ne marche pas trop : le repas. Mes garçons ne mangeraient que des pâtes.
Avec Jonathan nous avons décidé de fonctionner comme cela : on leur met un peu de féculent dans l'assiette avec un peu de légumes. Forcément ils ne vont manger que des féculents. Pour en avoir encore ils doivent manger au moins un petit bout de légumes (on réexplique que c'est important pour être en bonne santé et on montre l'exemple). Souvent ça suffit pour qu'ils engloutissent leurs légumes. Si ils n'ont pas pris assez de légumes on remet qu'un tout petit peu de féculents. 
Parfois ils sortent de table après leur première cuillère de féculents, parce qu'ils n'ont vraiment pas envie de manger un tout petit peu de légumes. Ce n'est pas nous qui les sortons de table, c'est vraiment eux qui le décident et ça se fait sans pleurs. C'est plus nous qui le proposons en disant que si il ne veut vraiment pas manger de légumes c'est qui ne doit plus avoir faim du tout alors il peut se lever (mais c'est très rare car dans la majorité des cas ils ont encore faim et donc mange des légumes).
Ce qui arrive régulièrement c'est qu'en fait les légumes c'est super bon et ils en réclament encore, avant de reprendre des pâtes.

Ce soir c'était brocolis. Bastien a englouti ses pâtes et en voulait encore. On lui a rappelé la règle en lui proposant un tout petit bout de brocolis. Après 5 minutes d'attentes il a finit par manger un tout tout petit minuscule bout. Il a donc eu un tout petit peu de pâtes ... et en voulait encore mais la règle c'est : qu'il doit manger des légumes ... ça a finit comme ça :


En fait c'est délicieux les brocolis, il ne s'arrêtait plus.

À Labaroche

Elisabeth et Abigaël nous ont invité à passer la presque journée avec elles.
Nous sommes partis à 9h50 en plein brouillard, nous sommes arrivés à 10h en plein soleil. Abigaël venait de se réveiller. Les enfants ont un peu joué ensemble mais les garçons avaient envie d'aller jouer dehors. Ils ont jetés des jouets à travers l'escalier, ils ont touché aux oeuvres d'arts, ils ont lancé les jouets... alors nous sommes sortis, mais en 5 minutes nous avions les pieds trempés. Direction la voiture pour troquer les chaussures contre les bottes et mettre les pantalons de pluie. On a fait une toute petite balade, puis on a joué dans le jardin pendant qu'Elisabeth préparait le repas. Bastien et Auguste ont un peu chahuté avec Abigaël, ils faut dire qu'ils ne sont pas très délicats. 
Le soleil était bien présent, on a même mangé dehors le délicieux gratin dauphinois. Bastien s'est goinfré régalé malgré le soleil dans ses yeux.
L'après midi s'est déroulée tranquillement, on attendait le camion qui venait livré un colis très lourd. Il est arrivé à 14h45, les enfants ne l'ont pas quitté des yeux. Nous sommes partis peu après, les enfants n'ont même pas mis 5 minutes à s'endormir dans la voiture.

mardi 28 octobre 2014

Marie Pierre

Marie Pierre est passée nous faire un coucou.
Comme d'habitude, ça fait du bien de la voir, on a discuté de nos futures vacances!

Crèche

J'arrêterais d'en parler quand tout ira bien ...
Hier soir je leur ai dis que demain ils iraient à la crèche : non non non.
En les mettant dans la voiture je leur ai dis qu'ils allaient à la crèche : non non non
En s'arrêtant devant la crèche ils se sont mis à hurler. 
J'ai du les porter pour rentrer.
En me voyant arriver j'ai eu l’impression que les professionnelles étaient blasées (comme je les comprends). Il y en a 2 qui se détachent de suite pour les prendre dans leurs bras.
Impossible de faire des transmissions dans les hurlements.

MAIS cette fois ci il n'y a que Auguste qui hurlait! (et c'est 10 fois pire que Bastien, Bastien est en colère, Auguste lui est paniqué!)

Je suis quand même partie revoir ma collègue Marie.